Habituée depuis longtemps à lancer des travaux de construction pharaoniques, la ville de Dubaï a encore de beaux projets pour son avenir. Toujours plus exigeante et extravagante, la ville-émirat prévoit de construire prochainement le centre commercial le plus grand du monde, ainsi qu'une ville couverte et climatisée pour permettre à ses habitants d'échapper à la chaleur étouffante. 

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Rien ne sera décidément jamais trop beau, ni trop coûteux pour les Dubaïotes. Après le Burj-Al-Arab (l'hôtel le plus étoilé et luxueux du monde), le building Burj Khalifa ou encore la presqu'il artificielle Palm Islands en forme de palmier, la riche ville-émirat ne compte pas s'arrêter là. Dans un avenir proche, Dubaï entend construire le centre commercial le plus étendu du monde, relié à une ville couverte et entièrement climatisée.

Grand comme deux arrondissements de Paris

Baptisé du nom de "Mall of the world" (Centre commercial du monde), ce futur centre commercial XXL fait vraiment dans la démesure. Couvrant une surface de 743 000 m2, cette grande étendue dédiée au shopping sera dotée d'un nombre incalculable de magasins, d'un quartier culturel abritant des théâtres ainsi que du plus grand parc d'attractions à thème couvert du monde.

Véritable ville dans la ville, le Mall of the world, grâce à des promenades de sept kilomètres de long, reliera entre elles un réseau de rues commerçantes entièrement couvertes et climatisées pour que les visiteurs ne puissent pas souffrir de la chaleur lors de leur shopping.

En tout la superficie de cet ensemble urbain devrait s'étirer sur 14km², soit a taille d'une petite ville française ou encore celle des 18e et 19e arrondissements de Paris mis bout à bout. Relié également à un complexe hôtelier comprenant une centaine d'hôtels et d'appartements meublés, le Mall of the world se veut être une destination touristique incontournable pour les visiteurs de Dubaï dont la croissance est repartie (...) Lire la suite sur Gentside.com

Soupçonné d'avoir commis plusieurs vols dans des appartements du centre-ville d'Orléans, un cambrioleur a été retrouvé grâce à une méthode d'investigation pas banale. Habitué à écouter aux portes avant de pénétrer dans les appartements, celui-ci avait laissé sans le vouloir des traces avec ses oreilles. De quoi donner des indices aux policiers qui ont ainsi réussi à remonter jusqu'à lui.

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N'a-t-on jamais dit qu'il était mauvais d'écouter aux portes? Voilà un dicton que ce voleur distrait aurait dû retenir avant d'aller cambrioler des appartements. Car avant de se faufiler dans chacun d'eux, celui-ci s'assurait que la voie était libre en se permettant d'écouter aux portes. Une petite manie qui lui a coûté bien cher puisque c'est justement grâce à l'empreinte laissée par ses oreilles que celui-ci a pu être retrouvé et arrêté.

Plus de 80 appartements cambriolés depuis 2009

Stoppé dernièrement dans sa progression à Orléans, le malfaiteur de 26 ans en était à son septième vol dans l'agglomération orléanaise, tous commis en pleine journée entre décembre et mai de cette année. Avant les cambriolages d'Orléans, le jeune homme avait fait également main basse sur la ville de Lyon où celui-ci avait réussi à cambrioler pas moins de 80 appartements.

Pour pénétrer dans les habitations, l'homme usait toujours du même mode opératoire. Pour s'assurer que les appartements était vides, celui-ci collait alors systématiquement l'oreille à la porte afin d'écouter tous les bruits. Une habitude qui aura finalement réussi à causer sa perte puisque c'est grâce à plusieurs empreintes de son oreille retrouvées sur les lieux des cambriolages que les policiers ont pu coincer le fauteur de troubles. Une véritable première pour la France qui vient de se doter de cette technique permettant d'arrêter un voleur en le confondant grâce à une pareille empreinte.

"Il est apparu une concordance entre l'empreinte de (...) Lire la suite sur Gentside.com

Unique en son genre, lorsque l'officier de police Joel Zwicky patrouille dans le secteur de Green Bay aux Etats-Unis, celui-ci le fait non pas avec un véhicule habituel, mais à l'aide d'un skateboard. Une méthode originale et amusante qui tend à faire tomber les barrières entre ses concitoyens et ce représentant des forces de l'ordre. 

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Bien qu'il porte l'uniforme réglementaire appartenant à la police de Green Bay, l'officier Joel Zwicky n'est pas ce que l'on pourrait appeler "un agent ordinaire". Car pour aller à la rencontre de ses concitoyens, ce policier du Wisconsin use d'une méthode peu orthodoxe en se déplaçant non pas à moto, ni en voiture, mais avec son skateboard !

Skateboard Cop

Si l'agent Joel Zwicky pourrait ressembler à première vue à n'importe quel policier de la ville de Green Bay, dès que ce dernier se met en route pour patrouiller, il se démarque en revanche grandement de ses collègues de travail. Pour effectuer ses rondes, Joel Zwicky utilise un skateboard orné d'un écusson du département de police et doté de roues plus grandes pour faciliter la tâche du policier dans ses missions. Le casque solidement vissé sur la tête pour éviter les blessures lors de chutes, Joel Zwicky part ainsi quotidiennement filer les rues et les parcs de Green Bay pour s'assurer du maintien de l'ordre.

Sur son passage, il n'est bien sûr pas rare que les gens qui croisent Joel Zwicky s'étonnent de voir ainsi un policier se déplacer en skateboard. À la fois amusées, ravies et surprises, les personnes qui rencontrent ce drôle de flic n'hésitent pas à l'arrêter pour discuter avec lui ou encore pour réaliser des selfies en sa compagnie.

Un accueil chaleureux que Joel Zwicky se félicite de recevoir de la part de ses concitoyens avec qui il souhaite rétablir le dialogue. "Je crois que je suis le seul policier au monde à patrouiller à skate", raconte cet agent que certains se sont déjà (...) Lire la suite sur Gentside.com

Des supporters se sont-ils faits passer pour des handicapés afin d'obtenir des places dans les stades de la Coupe du monde 2014, qui se joue actuellement au Brésil ? Suite à la diffusion sur les réseaux sociaux de plusieurs clichés troublants, la police brésilienne a en tout cas ouvert une enquête...

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Depuis une dizaine de jours, la Coupe du monde de football 2014, organisée au Brésil, monopolise l'attention de la planète entière. Cette effervescence est particulièrement palpable sur les réseaux sociaux comme Facebook et Twitter, où la compétition et ses à-côtés n'en finissent plus d'être commentés, et de donner lieu à des détournements humoristiques ou à des débuts de polémiques. Dans cette dernière catégorie, on citera cette affaire étonnante qui a attiré l'attention de la police brésilienne : depuis le début du Mondial, des supporters accèderaient aux stades en se faisant passer pour des handicapés qu'ils ne sont pas...

Debout devant sa chaise roulante pour célébrer un but de son équipe !

C'est une photo, partagée en début de semaine sur le site de micro-blogging, qui a mis le feu aux poudres. Manifestement pris dans un stade du Mondial, à en juger par la décoration des tribunes, le cliché en question montre, de dos, une femme debout devant sa chaise roulante. Habillée aux couleurs de la Seleçao, l'équipe nationale brésilienne, la spectatrice est manifestement en train d'exprimer son enthousiasme.

Forcément, une telle photo a interloqué les internautes, qui, passées les blagues sur les miracles que peut parfois créer le football, ont été nombreux à s'indigner contre ce qui apparaît comme une escroquerie caractérisée. Devant l'ampleur prise par la polémique, la police brésilienne s'est retrouvée dans l'obligation d'ouvrir une enquête.

Un réseau mafieux impliqué ?

Et les premières conclusions de celle-ci semblent corroborer les accusations faites sur Twitter. Non seulement de faux handicapés se seraient (...) Lire la suite sur Gentside.com

Julie Matthias habite le Chatham dans le Kent. Une région connue pour le fort accent de ses habitants. Mais la vie de Julie a basculée en 2011. Diagnostiquée d'une maladie rare, elle s'exprime désormais avec des accents étrangers.

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Julie Matthias est aujourd'hui un cas d'école pour les médecins du monde entier. Cette anglaise mère de famille est atteinte d'une maladie très rare. C'est en 2011 à la suite d'une très violente migraine que la britannique de 49 ans change brutalement de façon de s'exprimer.

"Avant que ça n'arrive, j'avais un accent typique de Chatham", explique-elle. Après s'être écroulée et avoir subi un choc à la tête, Julie n'arrive plus à s'exprimer comme avant. En 2012, le diagnostic est tombé, Julie souffre du syndrome de l'accent étranger.

Le syndrome de l'accent étranger

Ce syndrome ce caractérise par une modification du langage, la personne atteinte semble s'exprimer avec un accent étranger même lorsqu'elle parle sa langue maternelle. Les cas sont tellement rares que les causes précises de cette modification sont encore inconnues.

Depuis 1919 et le cas d'un tchèque, seulement une soixantaine de personnes ont été diagnostiquées. Julie Matthias, la britannique, s'exprime désormais avec tantôt un accent français, tantôt un accent chinois et sa vie quotidienne en souffre énormément.

Le racisme ordinaire

Gérante d'un salon de coiffure, Julie passe beaucoup de temps à discuter avec ses clients. Cette activité, qui fait partie intégrante de son métier, est peu à peu devenue une véritable torture. Elle raconte ainsi qu'une dame lui a un jour dit qu'elle ne comprenait pas ce qu'elle disait.

"Je pensais que c'était à cause de la radio, donc j'ai baissé le volume, ensuite elle m'a regardé de haut en bas et a dit : d'où venez-vous ? Et elle est sortie. C'était comme si elle avait dit : Tu viens de l'étranger prendre nos (...) Lire la suite sur Gentside.com