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9 juin 2014 1 09 /06 /juin /2014 10:54

La Google Car est un véhicule faisant le tour du monde afin d'enregistrer ses images sur Google Street View. Mais c'est une photo très étonnante qui y a fait son apparition. Le cliché pris dans la rue de Giles Street en Ecosse montre un homme, pioche à la main, face à un autre homme dont le corps semble sans vie !

 

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Google Maps est une véritable île aux trésors sur laquelle on peut trouver nombre d'images farfelues et inattendues. Les surprises que nous réserve le service de Google Street View sont parfois très surprenantes, à l'instar de cette perle trouvée dans une rue nommée Giles Street en Écosse. On y voit deux hommes dont l'un tient une pioche à la main et l'autre est étendu par terre, sans vie !

 

Un meurtre en pleine rue...

Cette histoire farfelue de deux hommes dont l'un serait mort a créé l'émoi dans la ville d'Édimbourg en Écosse. Le cliché nous amène à voir deux individus qui semblent porter des tenues de garagistes. Alors que l'un d'entre eux est debout, pioche à la main l'autre ne paraît pas être en aussi grande forme. Tout dans la photo laisse penser à un meurtre. Celle-ci a été signalée à la police par un internaute surpris.

 

...qui s'avère être une blague

Les autorités écossaises ont donc entamé une enquête afin de déterminer les causes de ce meurtre. L'enquête s'est révélée concluante puisque la police a finalement réussi à retrouver la trace de l'homme "mort". La supposée victime se prénomme Dan Thompson. L'homme âgé de 56 ans est le gérant d'un garage dans la rue et il est... en très bonne santé ! C'est avec l'aide de Garry Kerry, son employé, que l'homme a réalisé cette blague d'abord inquiétante mais finalement très comique.

 

Le cliché, réalisé par la Google Car en août 2012, n'avait pourtant rien de calculé. Le gérant du garage confie à The Independent: "On avait l'impression que c'était la chose à faire, donc je me suis jeté par terre (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 15:13

A quelques semaines de la coupe du monde au Brésil, n'aurait-on pas trouvé ici le futur remplaçant de la Vuvuzela Sud-Africaine ? Oreilles, tremblez !

 

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Vous souvenez-vous des Vuvuzelas, ces gros tubes plastiques surnommés les "trompettes de l'enfer" par les joueurs et journalistes ? Ce surnom leur venait des bruits cacophonique et assourdissants qu'elles produisaient.

Et bien la coupe du monde 2014, au Brésil en juin prochain risque de connaître elle aussi un outil à fort potentiel bruyant. Il répond au doux nom de "Diabolica", en écho aux "diables rouges" de l'équipe belge, pays de ses créateurs Fabio Lavalle et David dos Santos. 

 

Dans la cacophonie imminente 

"Le bruit n'est absolument pas comparable à ce que les vuvuzelas produisaient en faisant enrager les chaînes de TV", assure David Dos Santos, qui se félicite de crouler sous les commandes depuis le lancement de son produit.

D'ici le commencement de la compétition le 12 juin, ils espèrent, avec son associé Fabio Lavalle, en écouler prés d'un million. On peut parier dessus car le produit est un véritable succès en Belgique, son pays d'origine, où les vuvuzelas et les cornes de brumes sont bannis des stades pour des raisons de sécurité.

De plus, le Caxirola qui devait être l'instrument officiel du mondial 2014 ressemble à une sorte de maracas à main, faisant vaguement penser à une grenade. Il a donc été interdit à la vente car son design pourrait servir à le détourner de son utilisation première et être utilisé comme une arme.

L'année dernière, lors d'un match de la coupe des Confédérations, des supporteurs brésiliens s'en étaient d'ailleurs servi afin d'attaquer des joueurs. L'événement a précipité la décision de la FIFA d'interdire l'instrument pendant la Coupe du monde. Ce qui laisse le champ libre pour le Diabolica...

 

Maracas fever

Afin de montrer que cette fois-ci l'instrument a le soutien des (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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2 juin 2014 1 02 /06 /juin /2014 08:43

Un jeune étudiant Brésilien vient d'établir un nouveau record dans le monde du texto. Avec ses 18.19 secondes, le jeune homme s'est octroyé le titre d'homme qui tape le plus rapidement ses textos. Chapeau.

 

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Il n'existe pas de petite victoire, qu'on se le dise. Marcel Fernandes, un jeune étudiant Brésilien en physique de 16 ans est le détenteur d'un tout nouveau record. Un record qui va assurément lui assurer un crédit social à exploiter dans son lycée. L'étudiant est la personne qui tape le plus vite ses messages sur son smartphone. Il a établi un temps de 18.19 secondes, raccourcissant le précédent record de 0.25 centièmes, pour un texte de 25 mots.

 

Un record sans cesse battu

Afin de pouvoir certifier l'authenticité de son record, le jeune homme a utilisé une application mobile appelée Flesky. Créé par le studio de développement Syntellia l'application à ainsi générait un texte aléatoire de 25 mots que Fernandes devant retranscrire le plus rapidement possible sans utiliser d'autocorrection ou des aides de prédictions de mots comme la plupart des smartphones actuels proposent.

En 2010 le record était deux fois plus long, détenu par l'Américain Franklin Page, le timer indiquait alors 35.54 secondes. Avant de voir sa place ravie par l'employé de Microsoft, Gaurav Sharma, avec ses 18.44 secondes. 

 

Amiga 2000

Quand on lui demande comment il a fait pour acquérir une technique et des compétences pareilles, le jeune étudiant en physique répond tout naturellement : "Un jour j'ai perdu patience avec mon ordinateur, trop lent et trop vieux, que je l'ai littéralement éclaté à coups de marteaux". Puis au jeune homme de rajouter : "du coup j'ai dû me servir exclusivement de mon Iphone 3GS, je n'avais plus d'argent pour racheter un autre ordinateur, mais cela me convenait très bien je pouvais quand même faire tout ce que je voulais avec mon téléphone".

Son record n'a été validé que (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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28 mai 2014 3 28 /05 /mai /2014 15:10

Un mystérieux individu s'amuse à cacher de l'argent dans les rues de San Francisco et divulgue des indices sur un compte Twitter !

 

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C'est beaucoup d'argent qui a été distribué dans les rues de San Francisco ces derniers temps. Une personne n'ayant pas encore révélé son identité s'amuse à disperser plusieurs centaines de dollars à travers les rues de la ville de Californie.

Et ce mystérieux inconnu dont on ne connaît que le compte Twitter @HiddenCash (@ArgentCaché) jette son dévolu sur des endroits plus improbables les uns que les autres, d'une cabine téléphonique à un banc en passant par une station de métro.

 

Une partie de cash-cash  

Tout a commencé vendredi dernier, le 23 mai, au petit matin. L'inconnu cache un billet de cent dollars dans une cabine téléphonique de la 7th Street à San Francisco et publie l'information sur Twitter. Sans attendre, plusieurs dizaines de personnes se ruent sur le butin. Pour la majorité d'entre elles, c'est trop tard. Les internautes réagissent avec une rapidité hallucinante au tweet de @HiddenCash et il en devient quasiment impossible d'arriver sur les lieux dans les premiers. 

La ville de l'ouest des Etats-Unis se retrouve à attendre impatiemment le prochain tweet de l'inconnu. Le compte twitter de cette mystérieuse personne est clair sur les enjeux de tels actes. Ce serait, selon la description, "une expérience sociale anonyme". Les internautes qui auront réussi à mettre la main sur cet argent sont invités à partager leur photo sur le réseau social par la suite. Ainsi, le compte nous permet de voir de nombreuses personnes se prenant en photo avec des billets de 20 à 100 dollars. 

 

Une personne généreuse mais inconnue 

Rares sont les chanceux qui réussissent à gagner cet argent donné généreusement. Alfie Estrada en fait néanmoins partie. C'est aux alentours de la station de métro de Lake Merritt à Oakland, une ville qui se trouve sur la baie de San Francisco, que (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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24 mai 2014 6 24 /05 /mai /2014 20:05

Aussi terrible que cela puisse paraître, un bébé a sauté depuis la fenêtre du deuxième étage d'un immeuble en Chine. Fort heureusement pour sa vie, un commerçant voisin s'est empressé d'aller le rattraper en vol. 

 

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En Chine, une scène effroyable s'est déroulée alors que la tempête faisait rage. Du deuxième étage d'un immeuble, un bébé a sauté par la fenêtre. Fort heureusement pour sa vie, plusieurs personnes l'ont secouru et deux hommes se sont empressés de le rattraper avant qu'il ne touche le sol. 

La scène a été enregistrée dans sa totalité grâce à une caméra de surveillance. Nous sommes dans la province chinoise de Guangdong, plus exactement à Zhongshan City. Tout commence alors qu'une forte pluie s'abat sur la ville. Les gens courent dans les rues, tout le monde cherche un abri.  

 

La terrible scène du bébé qui saute 

Au second étage d'un immeuble, un enfant âgé d'un an seulement cherche sa maman qui s'est absentée. La malheureuse avait oublié de fermer sa fenêtre - et surtout d'emmener avec elle son enfant -. Pour l'appeler, l'enfant s'est dit que depuis la rue ça serait plus facile. Il s'est alors penché à la fenêtre pour voir si sa maman n'était pas dans les parages et sinon, pour l'appeler. 

Seulement, un seul geste de maladresse et le pire peut très vite arriver. En face, un commerçant, Monsieur Li, remarque la présence de l'enfant sur le rebord de la fenêtre. Il s'empresse d'appeler toutes les personnes présentes aux alentours pour venir en aide à l'enfant.

Certains tentent alors de rejoindre l'appartement pour ramener l'enfant depuis l'intérieur. D'autres installent toutes sortes d'objets dans la rue afin de protéger l'enfant en cas de chute. Et deux autres hommes - dont le commerçant - sont présents, les bras tendus et les yeux levés vers le ciel et ce fameux deuxième étage, pour tenter de rattraper l'enfant si jamais il tombe. "Ne (...) Lire la suite sur Gentside.com

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23 mai 2014 5 23 /05 /mai /2014 17:32

Un club de football bolivien s'est offert les services d'un joueur plutôt inattendu. C'est le président en personne qui a signé un contrat pour la saison prochaine.

 

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Malgré son emploi du temps chargé de président de la Bolivie, Evo Morales vient de s'engager dans une carrière bien éloignée de la politique. Les Sport Boys, un club du sud-est du pays, a recruté le chef de l'État qui s'illustrera donc en première division dès la saison prochaine.

 

Un contrat normal

Le président du club qui a annoncé la nouvelle devant les caméras du monde entier a assuré qu'Evo Morales serait traité comme un autre joueur. Son contrat est classique, il sera donc payé le salaire minimum en vigueur dans le pays, 1 440 bolivianos, l'équivalent de 150 euros.

Mais les fonctions présidentielles nécessitent tout de même quelques aménagements. Mario Cronenbold, président du club,  a déclaré : "Nous lui enverrons une liste de matches et il choisira ce qu'il souhaitera jouer". A 54 ans, Evo Morales ne jouera que 20 minutes sur les 90 que compte un match. Le président portera le numéro 10 mais aucune information n'a été communiquée pour l'instant quant à savoir s'il jouera à gauche ou à droite.

 

Un président fan de foot

Evo Morales a toujours beaucoup apprécié le ballon rond. On l'a vu jouer déjà plusieurs fois lors de match de gala comme en 2012 où il joue un match amical contre les Nations Unis à New York ou encore lors de matchs organisés par des journalistes ou des syndicalistes. 

Mais jamais il n'avait passé le cap de devenir joueur professionnel. C'est chose faite maintenant. "Il a une bonne technique balle au pied et un très bon tir", a expliqué le président des Sport Boys, mais le petit embonpoint du président le ralentit sur le terrain.

 

Un Bon coup de com'

Une chose est sûre, ce coup de projecteur est une bonne publicité pour Evo Morales.  Les élections présidentielles auront lieu le 12 octobre prochain. (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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16 mai 2014 5 16 /05 /mai /2014 07:14

Ibrahim Hamato est un pongiste égyptien. Démuni de ses deux bras, ce dernier poursuit tout de même son rêve de tout petit : être champion de tennis de table. Aujourd'hui, Ibrahim Hamato affronte les plus grands champions du monde valides et cela sans aucun complexe.

 

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Rien n'est impossible et Ibrahim Hamato le prouve dans cette étonnante vidéo. Ce pongiste égyptien est un cas à part dans l'univers du tennis de table. Démuni de ses deux bras, ce dernier réalise tout de même de formidables performances dans la catégorie "para" de ce sport de raquette. D'ailleurs, la raquette, Ibrahim Hamato la tient dans sa bouche. Et c'est avec la puissance et l'habileté de sa mâchoire qu'il joue chaque point et s'engage à gagner chacun d'entre eux.

 

Un invalide au milieu des plus grands champions valides 

Cette vidéo a été publiée sur internet par la Fédération Internationale de Tennis de Table. Mise en ligne le 9 mai dernier, elle a attiré près de 500 000 internautes curieux de voir comment un homme doté de ce handicap parvenait à jouer au tennis de table presque sans aucune difficulté.

Car si vous pensez pouvoir battre Ibrahim Hamato sans aucun problème, vous vous trompez très certainement. Très habile et haut classé dans le championnat "para" du tennis de table, le joueur égyptien parvient même à échanger des balles avec les plus grands champions du monde valides de ce sport.  

D'ailleurs, sur cette vidéo on peut le voir faire des échanges avec le numéro neuf mondial, le Japonais Jun Mizutani ou bien encore l'ancien champion du monde, le Chinois Wang Hao ainsi que la légende biélorusse du tennis de table, Vladimir Samsonov.

 

Bien entendu, ces derniers ne jouent pas comme s'ils affrontaient un adversaire valide mais ils renvoient tout de même la balle avec ferveur. Des coups qui n'empêchent pas Ibrahim Hamato de jouer ni même de remporter des points puisque ce dernier arrive à déjouer le jeu de ces grands (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 15:36

A Sydney, en Australie, la police a dû intervenir sur le toit du magnifique opéra de Sydney pour venir en aide à un homme ivre qui s'y était retrouvé coincé.

 

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Si les histoires de personnes ivres font rire et étonnent à travers le monde, celle-ci pourrait bien décrocher la palme. En Australie, la police de Sydney a eu la surprise de découvrir sur le toit de l'opéra connu de tous un homme n'ayant rien à faire ici.

 

Il se baladait sur le toit de l'opéra en fumant et buvant  

D'abord repéré par des passants intrigués par sa présence, l'homme a ensuite mobilisé une partie des forces de police pour descendre de l'endroit, ce dimanche 11 mai 2014. Mais il n'a évidemment pas été simple de sortir la personne de son très haut perchoir, et une équipe de deux sauveteurs a dû intervenir et escalader l'opéra de Sydney pour lui venir en aide.

En attendant leur intervention, l'homme est sans surprise devenu une réelle attraction. Une femme présente sur les lieux, raconte au journal australien, le Sydney Morning Herald, l'avoir vu faire les cents pas sur le toit, fumant une cigarette et buvant également une canette pendant près d'une heure avant que les secours ne terminent leur ascension de l'opéra.

 

Comment est-il arrivé là ? 

Ceux-ci ont tout de même passé un certain temps à essayer de le convaincre de descendre avec eux, ce qu'il a fini par faire, équipé d'une corde de sécurité. Comme le relaie FranceTvInfo, l'un des policiers mobilisés sur place raconte au quotidien anglais, le Daily Telegraph, que l'homme était totalement ivre quand il a été retrouvé.

Se pose désormais une question aussi secondaire qu'indispensable, comment un homme totalement ivre a-t-il pu arriver sur le toit de l'opéra de Sydney ? S'il parait absolument impensable qu'il ait pu grimper jusqu'ici dans un tel état, peu d'informations ont encore filtré sur sa présence sur le toit. D'ailleurs, la sécurité de l'opéra, (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 08:33

Au Japon, un concours annuel cherche à élire le bébé le plus pleurnichard du pays. Au cours du Naki Sumo Festival, plusieurs bébés s'affrontent dans un ring de sumo et la victoire revient au bébé qui se met à hurler le premier.

 

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Le concours se déroule dans un ring de sumo. Deux enfants s'affrontent dans un combat surprenant. Seulement, le but de cette lutte, c'est d'être le premier à pleurer et le plus longtemps possible. Le 5 mai dernier, dans la ville d'Hiroshima, près de 800 bébés se sont affrontés.

 

Il fait peur aux enfants en disant "nokotta"

Au Japon, une croyance populaire demeure selon laquelle les cris d'un enfant peuvent éloigner les mauvais esprits. C'est pour cela que chaque année, des bébés âgés de 6 mois et jusqu'à 18 mois s'affrontent sur un tapis de sumo, rapporte le site Euronews. Pour faire pleurer ces bambins, l'arbitre crie "nokotta", qui signifie "début du combat". Il répète inlassablement cette expression pour pousser les enfants à hurler le plus fort possible.

Seulement, certains enfants ne se laissent pas impressionner aussi facilement par le vieil homme. Ils restent alors totalement statiques. Ils regardent l'arbitre avec étonnement mais ne versent aucune larme. Dans ce concours, à chaque combat, deux bébés se retrouvent face à face. Le premier qui se met à pleurer a gagné. Lors de la présentation sur le ring de sumo, chaque enfant est assis et porte une tenue traditionnelle. Sur leur tête, on retrouve également un bandeau.

 

Un enfant qui pleure est un enfant en bonne santé

Ce concours très sérieux, le Naki Sumo Festival, se renouvelle chaque année. Alors que dans les pays occidentaux, on aurait plutôt tendance à faire taire ces bébés, au Japon, les pleurs d'un bébé sont le signe qu'il est en bonne santé. C'est donc cela que célèbre ce festival. Plus un bébé crie fort et longtemps, plus les spectateurs sont sous le charme et l'enfant force alors le (...) Lire la suite sur Gentside.com


 

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5 mai 2014 1 05 /05 /mai /2014 17:52

logo gif dijonvelotour bleu-300x300

 

Un taxi clandestin qui avait pris une passagère à l'aéroport de Roissy a terminé sa course à plus de 200 km/h en voulant échapper à la police.

 

Une course en taxi clandestin depuis l'aéroport parisien de Roissy-Charles-de-Gaulle s'est terminée en course-poursuite à 200 km/h avec la police, avec une belle sueur froide à la clé pour la passagère, a-t-on appris auprès de la gendarmerie, qui a arrêté le chauffard vendredi.

Lundi dernier, vers 20 h 30, une patrouille de police remarque le Renault Espace, sans aucune signalisation indiquant qu'il s'agit d'un taxi, dans lequel monte une Indienne de 29 ans, tout juste arrivée en France pour un stage dans une entreprise parisienne. Le chauffeur, un homme de 46 ans qui n'a plus le permis de conduire, est bien connu des "boers", les policiers chargés du contrôle des taxis, ont précisé les gendarmes. Lorsque les policiers tentent de le contrôler, le faux taxi s'enfuit, à une "vitesse estimée" de 200 km/h sur l'autoroute A1, en direction de Lille.

"Victime prostrée"

Pensant avoir semé les policiers, il tente de débarquer une première fois sa victime sur la bande d'arrêt d'urgence, mais "voyant la patrouille revenir sur lui", il redémarre en trombe et verrouille les portières, enfermant sa passagère, ont-ils relaté. Distançant à nouveau la police, il dépose la passagère à Survilliers, une commune du Val-d'Oise le long de l'A1 à une dizaine de kilomètres au nord de l'aéroport. Il n'hésite pas à lui demander "de payer sa course".

 

La "victime, prostrée, obtempère à cette demande et sort le numéraire contenu dans son portefeuille à hauteur de 400 euros", avant de laisser partir le faux taxi, selon les gendarmes. Elle ira déposer plainte dans la nuit à la gendarmerie voisine de Fosses, où des recherches sont lancées notamment pour exercice illégal de la profession de taxi, refus d'obtempérer, conduite sans permis et la brève séquestration de la passagère.

 

Les enquêteurs identifient rapidement le chauffard, en analysant notamment la vidéosurveillance de l'aéroport, et l'arrêtent chez lui vendredi à l'aube à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine). Il devrait être jugé lundi à 13 h 30 en comparution immédiate au tribunal de grande instance de Pontoise.

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