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24 mars 2013 7 24 /03 /mars /2013 09:43

http://img0.gtsstatic.com/insolite/cette-cabane-est-perchee-sur-un-rocher-au-beau-milieu-d-une-riviere_118730_w460.jpg

 

Depuis près de 45 ans, cette maison construite sur un rocher au beau milieu d'une large rivière, résiste encore et toujours aux conditions météorologiques, aux eaux et au temps qui passe. L'occasion pour nous de vous faire découvrir cette curiosité dans une galerie de magnifiques photos.


Pendant les 45 dernières années, cette minuscule maison construite sur le sommet d'un rocher au beau milieu d'un fleuve, a résisté aux vents, aux crues et surtout au temps pour devenir une véritable curiosité très prisée des amateurs d'images insolites. En équilibre sur une roche au milieu de la rivière Drina, la cabane est située près de la ville de Bajina Basta, en Serbie, et est devenue une attraction pour les touristes qui visitent la région.

 

http://img0.gtsstatic.com/insolite/cette-maison-au-milieu-de-la-riviere-a-ete-construite-en-1968_118732_w460.jpg

 

La cabane est construite en 1968 

En 1968, un groupe de jeunes nageurs, qui avait besoin d'un endroit pour se reposer sur la rivière, a l'idée géniale de construire cette cabane. Ils ont tout d'abord trouvé cet énorme bloc de rocher au milieu du fleuve, mais avec le temps, ils ont voulu un endroit plus confortable pour poser leurs affaires et reprendre des forces. Ils ont alors commencé à placer des planches en bois sur le dessus de la roche pour pouvoir être plus à l'aise. Mais comme ils voulaient être à l'abri du soleil, ils ont commencé à développer l'idée d'une cabane sur les rochers. L'année suivante, un des nageurs a transformé l'idée en projet de construction de cette maison composée d'une seule et unique pièce.


"une oasis unique de nature, une évasion des contraintes de civilisation"

Tous les matériaux de construction et les outils ont été transportés par bateau et kayak, et les plus grandes pièces ont été simplement placées dans l'eau en amont et capturées directement lors de leur descente de la rivière. Elles ont ensuite été accrochées devant l'emplacement du bâtiment. Un site internet décrit la maison comme "une oasis unique de nature, [une évasion] des contraintes de la civilisation." Au cours des années, la maison a résisté aux forces de la nature et aux inondations multiples, y compris les plus puissantes.

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4 mars 2013 1 04 /03 /mars /2013 08:03

http://img0.gtsstatic.com/insolite/ces-habitants-de-tokyo-logent-dans-des-appartements-pas-plus-grand-qu-un-placard_118318_w460.jpg

 

Le prix de l’immobilier en France et surtout à Paris ne cesse de flamber et vous trouvez que vous payez bien trop cher pour le logement que vous occupez actuellement ? Alors que dire de cette offre de logement en provenance du Japon vous invitant à venir vous loger… dans un placard!


Comme la plupart des villes à forte concentration de la population, Tokyo connaît comme Paris un véritable problème d’offres de logements. Depuis ces dernières années il semble de plus en plus difficile pour les habitants de Tokyo de trouver des logements décents afin de pouvoir se loger correctement. Les offres deviennent si rares, que certains propriétaires n’hésitent pas à proposer à ceux qui le souhaitent des logements de taille ultra-réduite aux loyers en constante augmentation.

 

À Tokyo, certains locataires sont obligés de vivre dans des appartements faisant la taille… d’un placard.

Dans le quartier de Shibuya situé à Tokyo, certains jeunes cadres professionnels n’hésitent pas ainsi à payer chaque mois des sommes folles pour pouvoir se loger dans des habitations faisant une superficie d'à peine 3 mètres carrés. Ces courageux locataires dépenseraient tous les mois la somme de 586 dollars (soit environ 450 euros) pour se retrouver en finalité logés dans des espaces réduits pas plus spacieux… qu’un placard de rangement. Empilés les un sur les autres, ces logements de fortune ne disposeraient en plus d’aucune fenêtre et se fermeraient par une porte coulissante. De quoi rendre n’importe quel occupant de ces logis rapidement claustrophobe. Concernant l’hygiène, les locataires de ces habitats disposent également de pièces en commun situées à l’extérieur où il est alors possible de procéder à un brin de toilette et mais aussi de se restaurer.

 

Ces logements permettent de gagner du temps dans la journée

Même si ces locataires japonais peuvent certainement trouver mieux et moins cher ailleurs en banlieue de Tokyo, ceux-ci ne semblent pas pour autant se plaindre de leurs conditions de vie exiguës. Car outre le fait de manquer de place, ces "placards à balais" les rapprocheraient néanmoins de leur travail situé au centre-ville en leur faisant gagner un temps précieux sur leur journée. Le trajet pouvant parfois prendre plusieurs heures aux tokyoïtes pour se rendre sur leur lieu de travail, ceux-ci ont donc opté pour des logements de ce type proposant un moyen pratique de se loger, mais aussi le strict minimum en matière de confort.

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3 mars 2013 7 03 /03 /mars /2013 12:47

http://img0.gtsstatic.com/insolite/un-monstre-marin-dans-le-new-jersey_118036_w460.jpg

 

Un Américain a péché un véritable monstre marin dans une rivière du New Jersey. Une énorme sangsue ressemblant à un alien et possédant des rangées de dents acérées. Il a posté une photo sur internet de la créature qu'il a tué à l'aide d'un arc et de flèches qui a fait le buzz sur internet avec plus d'un millions de vues.


Doug Cutler a pêché il y a deux étés de cela une sorte de monstre marin dans la Raritan River dans le New Jersey. Heureusement armé d'un arc et de flèches, il a abattu une créature tout droit sortie d'un film d'horreur. A l'apparence d' une sangsue géante avec des dents d'alien, ce parasite donne des frissons quand on sait qu'il ne vit que dans l'eau douce. Doug a posté la semaine dernière une photo de sa prise sur Reddit. Le cliché de Doug Cutler mis en ligne a été vu plus d'un million de fois.


Une lamproie de mer géante

Mais qu'est-ce que ça peut bien être? Selon le Outdoor Magazine, il s'agit probablement d'une lamproie de mer, un type de parasite qu'on trouve régulièrement dans les régions bordant l'Atlantique nord. La lamproie utilise ses horribles dents pour attraper ses proies (poissons ou nageurs innocents) avant de leur injecter des liquides digestifs qui les paralysent puis les tuent. Seulement une proie sur sept réchappe à une attaque de la créature aquatique, ce qui n'a rien de rassurant. Les lamproies deviennent apparemment de plus en plus courants dans des zones d'eau douce, comme les Grands Lacs et les rivières comme il y en a beaucoup dans le New Jersey.


Parasite ou véritable monstre marin ?

Cependant, les experts ne sont pas entièrement certains qu'il s'agisse d'une lamproie de mer. "La photo ne permet pas de compter le nombre d'ouvertures de branchie (sept par côté pour des lamproies de mer), mais basé sur la taille seule, ceci semble vraiment être une lamproie de mer," a affirmé le porte-parole du Département de New York de la Conservation Environnementale à Outdoor Magazine. Certains signes montrent qu'il s'agit d'un réel monstre marin et non pas un parasite fluvial plus monstrueux qu'à l'ordinaire. Ceci est juste une des raisons pour lesquelles vous ne devriez jamais nager ou patauger dans l'eau obscure du New Jersey.

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 20:04

http://cdn-premiere.ladmedia.fr/var/premiere/storage/images/fluctuat/societe/news/l-ile-des-poupees-abandonnees-3675894/66647834-1-fre-FR/L-ile-des-poupees-abandonnees_w670_h372.jpg

 

Contre quelques pesos, les touristes en séjour au Mexique peuvent photographier l'étrange les mystérieuses poupées abandonnées de la Isla De Las Muñecas, un endroit bourré de légendes.

Ces poupées ont été religieusement exposées au fil des décennies par Santana Don Julián, un ermite venu s'installer sur l'île. Pendues aux branches, elles sont visibles dans toute l’Isla De Las Muñecas qui est située à un peu moins de vingt kilomètres de Mexico, dans la région de Xochimilco.

 

Décédé en 2001, cet homme a eu une seule et même obsession jusqu’à la fin de sa vie : apaiser l’esprit d’une petite fille qui s’est noyée dans le canal à côté de l’ile. Ainsi, il a collecté de nombreuses poupées et à les disposer un peu partout.

 

Avec les années, les joujoux souvent amputés d’un membre se sont abimés à cause des éléments du temps et offrent une vision unique et oppressante faisant penser à l’antre d’un serial killer. Répertorié sur le site Atlas Obscura, le lieu est dorénavant une attraction touristique populaire. 

 





Via : Amusingplanet.com

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26 février 2013 2 26 /02 /février /2013 08:10

http://img1.gtsstatic.com/insolite/cet-hotel-de-luxe-het-arresthuis-est-une-ancienne-prison-neerlandaise_117197_w460.jpg

 

Cette ancienne prison du XIXe siècle située au Sud-Est des Pays-Bas a été transformée en un véritable hôtel de luxe.


Aux Pays-Bas, des personnes lambda peuvent si elles le désirent passer la nuit, voire même un séjour, en prison. Il s’agit, en réalité, d’une prison du XIXe siècle qui a été transformée en un véritable hôtel de luxe.

 

Si vous désirez séjourner au Sud-Est des Pays-Bas, les sites internet de recherches d’hôtels vous proposeront certainement l’hôtel Het Arresthuis, situé dans la ville de Roermond. Malgré ses allures d’hôtel de luxe, l’Histoire de l’établissement est quelque peu spéciale. En effet, cet hôtel de luxe était dans le passé une prison. Mais ne vous méprenez pas, la direction de l’hôtel ne vous fera pas dormir dans des cellules macabres et non éclairées. Les pièces ont été entièrement aménagées pour en faire des espaces chics, spacieux et modernes. Cependant, la direction alimente tout de même cette histoire en essayant d’intégrer à la décoration des éléments rappelant le passé de l’établissement.

 

Les 150 cellules se sont transformées en chambres et suites luxueuses 

Les clients peuvent donc profiter pleinement du confort de cet hôtel leur proposant un centre de fitness ou encore un sauna. Les 150 anciennes cellules ont été transformées en 36 chambres luxueuses et en sept suites. Quatre d’entre elles portent d’ailleurs des noms rappelant l’univers pénitencier : Le Directeur, Le Geôlier, L’Avocat et le Juge. Ces suites sont situées dans les zones où se trouvaient les chambres des gardiens et les équipements de sport. Dans l’ensemble, les chambres offrent les mêmes services : lit double, une douche, l’air conditionné, un écran plat, le WiFi et aussi des machines à café et des théières. Communes dans l’ensemble, elles sont cependant toutes uniques par leur décoration et leur thématique.  

 

En plus des chambres, l’hôtel propose à ses clients des espaces communs comme le bar et le restaurant. Pour une nuit dans une chambre, les prix varient mais restent tout de même assez onéreux. En effet, en simulant une réservation sur le site internet, on peut voir qu’il faut débourser entre 250 et 500 euros pour une nuit passée à deux.

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25 février 2013 1 25 /02 /février /2013 18:12

http://img0.gtsstatic.com/photographie/une-photo-d-un-festival-pyrotechnique-en-chine-soumise-au-sony-world-photography-awards-2013_117058_w460.jpg

 

Comme chaque année, le prestigieux concours Sony World Photography Awards, organisé par Sony, accueille des photographes du monde entier venus soumettre leurs plus beaux clichés afin d'espérer décrocher un prestigieux "Iris d'Or". Découvrez ce nouveau cru 2013 riche en surprises et découvertes.


Cette année, ils étaient encore nombreux à soumettre leurs plus beaux clichés à un jury qui devra bientôt se charger de sélectionner les meilleurs. Après avoir procédé à une première sélection parmi plus de 122.000 photographies toutes réalisées en 2012 et classées parmi diverses catégories, le jury composé de la World Photography Organisation, de Sony ainsi que de Damien Demolder du Amateur Photographer Magazine, va devoir prochainement établir un palmarès pour ce cru 2013. Distingués par de nombreuses catégories, les participants de 160 pays différents découvriront en mars et avril prochain le résultat tant attendu.

 

Les gagnants exposés et publiés 

Après avoir procédé à une première sélection stricte et rigoureuse, Sony, pour la septième édition de son concours, vient de soumettre la liste des derniers candidats encore en lice. Des participants qui espèrent tous remporter un prix dans les catégories suivantes : "Professionnel", "Open" et "Jeunesse".

Le 19 mars prochain, le concours procédera à la désignation du gagnant dans la catégorie "Open", avant de rendre public son verdict le 25 avril 2013 lors de la désignation du gagnant dans la catégorie "Professionnel". À l’issu de ce grand concours, et en plus de la récompense de 25.000 dollars (près de 19 000 euros), les organisateurs permettront aux lauréats d'être exposés à la Somerset House de London du 26 avril au 12 mai. Ces derniers verront également leurs photos être publiées dans les pages du Sony World Photography Awards book.

Clichés étonnants, photographies émouvantes ou encore images inattendues, le jury ne va avoir que l’embarras du choix cette année pour récompenser les meilleurs.

 

Quand le National Geographic établit aussi son palmarès

Si l’on ne connaît pas encore l’issu du concours Sony World Photography Awards 2013, on peut en attendant toujours admirer les clichés des lauréats 2013 du concours organisé par National Geographic. Une merveilleuse série de photographies prises aux quatre coins de la planète et sélectionnée auprès de près de 22.000 professionnels et amateurs.

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18 février 2013 1 18 /02 /février /2013 13:27

http://www.lepoint.fr/images/2013/02/17/1075482-416352-jpg_946775_434x276.jpg

 

 

Barack Obama a eu l'occasion dimanche de voir comment on pratique le golf au plus haut niveau - il a joué avec Tiger Woods, le numéro deux mondial.

 

Obama, un golfeur du dimanche, et Woods, qui a remporté le mois dernier son 75e titre, se sont côtoyés pour la première fois sur le parcours du Floridian Yacht and Golf Club, à Palm City, en Floride.

 

Moins d'un mois après le début de son deuxième mandat, le président américain s'offre trois jours de détente en Floride tandis que sa femme Michelle et leurs deux filles, Malia et Sasha, font du ski dans le Colorado.

 

Samedi, Barack Obama avait reçu quelques conseils de l'ancien coach de Woods, Butch Harmon.

 

Le président et Tiger Woods ont été rejoints sur le parcours par le représentant américain au Commerce, Ron Kirk, et par Jim Crane, le propriétaire du golf, a précisé le porte-parole de la Maison blanche Josh Earnest.

 

Rien n'a filtré sur la qualité du jeu de Barack Obama.

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 07:34

http://cdn-premiere.ladmedia.fr/var/premiere/storage/images/fluctuat/diaporamas/une-ile-abandonnee-en-plein-new-york-3665044/node_3665622/66414764-1-fre-FR/image_portrait_w858.jpg

 

New York incarne dans la culture contemporaine un nombre incalculable d’images de la ville moderne et tentaculaire. De ses skyscrapers à ses taxis jaunes, de Central Park à Times Square en passant par Brooklyn Bridge, on pense en avoir tout vu et connaître son paysage sur le bout des doigts.

 

Il n’en est rien, comme nous le prouve l’exemple de l’île de North Brother. Située sur l’East River entre les quartiers du Queens et du Bronx, ce petit caillou est en réalité une île complètement déserte !

 

Ce ne fut pourtant pas toujours le cas : en 1885, on y construisit un hôpital ainsi qu’un bâtiment de quarantaine où l’on isolait les victimes de la fièvre typhoïde et de la variole. Dans les années 50, le bâtiment fut réutilisé comme centre de désintoxication (on peut observer quelques dessins de la part d’anciens patients du site) avant d’être laissé à l’abandon en 1963. L’île n’a jamais connu d’autres occupants depuis, bien que les autorités municipales ont envisagé d’y construire une prison dans les années 80.

 

Cela peut apparaître étonnant au vu du potentiel d’attraction de la cité new-yorkaise, mais il faut dire que l’endroit cumule un certain nombre de défauts rédhibitoires : difficile d’accès, elle nécessite des investissements trop coûteux et ne possède pas de système d’évacuation des eaux usées. Et c’est sans compter sur les nuisances sonores générées par l’aéroport de LaGuardia situé à proximité, derrière l’île de Rikers Island.

 

L’île est donc désormais entièrement recouverte par la végétation, comme on peut le voir sur ces photographies envoûtantes prises par un amateur qui était parti de New York en kayak pour rejoindre le Connecticut. Fasciné par cet endroit laissé à l'abandon, il a publié une série de clichés sur le net afin de partager avec le reste du monde son étonnement.

 

Voir l'intégralité de la galerie photo postée par BallSackFace sur imgur

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

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12 février 2013 2 12 /02 /février /2013 07:47

http://l.yimg.com/bt/api/res/1.2/Y7ZuKhd1h0GkDXOL_sPCmA--/YXBwaWQ9eW5ld3M7Y2g9MzQxO2NyPTE7Y3c9NTEyO2R4PTA7ZHk9MDtmaT11bGNyb3A7aD0zNDE7cT04NTt3PTUxMg--/http://media.zenfs.com/fr_FR/News/AFP/photo_1360227741118-3-0.jpg

 

Devant un chantier à l'abandon, des touristes s'enthousiasment: deux visages innocents croqués en noir et blanc égaient un portail en fer et un tag de Banksy se cache sous des planches, explique le guide de cette visite consacrée au street art à Shoreditch, quartier londonien branché.

 

Les rues taggées de londres, un musée à ciel ouvert. AFP
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ven. 8 févr. 2013 12:00 HNEC
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Le propriétaire du terrain protège des vandales et des intempéries la précieuse peinture qui représente un rat en train de manger avec une fourchette et un couteau: il compte l'utiliser comme élément de décor dans son futur restaurant, raconte Karim Samuels.

"Si vous avez la chance que votre immeuble soit tagué par Banksy", l'un des graffeurs les plus en vue, "ça augmente sa valeur", poursuit le jeune homme, bonnet enfoncé sur le crâne en cette journée glaciale.

Pour 14 euros, le directeur de Street Art London, une entreprise de promotion des artistes de rue, conduit touristes et passionnés d'art dans les dédales de Shoreditch à la découverte des graffitis les plus saillants. L'occasion de visiter un musée à ciel ouvert, aux codes secrets et en partie illégal.

"L'art n'est pas seulement dans les musées ou les galeries, l'art est partout. Et cette visite le prouve", se réjouit Felipe Rama, un étudiant brésilien de 20 ans, qui a chaussé des lunettes 3D pour profiter pleinement du portrait acidulé peint sur la façade d'un café par l'Australien Jimmy Cochran.

L'art urbain ne se confine pas à des murs ou des rideaux de fer tagués. Il peut aussi prendre la forme de pochoirs, de mosaïques, de sculptures, comme ce champignon rouge vif perché sur le toit d'un restaurant, ou la forme insolite de chewing-gums peints, invisibles sans le regard affûté du guide.

"Depuis 1998, Ben Wilson a peint entre 8.000 et 10.000 chewing-gums" piétinés sur le trottoir. "Il a été arrêté mais la police n'a pas pu le poursuivre. Il n'endommage aucun bien. Les chewing-gums sont juste des détritus", constate Karim, dévoilant sous la neige une de ces mini créations.

"Les artistes voient la rue comme un terrain de jeu, et on essaie de montrer la diversité du street art", explique-t-il, après avoir raconté la genèse de l'oiseau géant peint sur toute la hauteur d'un immeuble et révélé des figurines miniatures dansantes au pied d'un mur, oeuvre du Mexicain Pablo Delgado.

"Là où il y a une volonté, il y a un chemin", affirme-t-il, résumant l'état d'esprit des artistes de rue toujours à la conquête de nouveaux territoires.

Des graffitis sont détruits par la municipalité, d'autres sont endommagés par des artistes jaloux ou en manque d'espace, certains disparaissent au gré des nouvelles constructions et quelques-uns, plus rares, sont commandés par des propriétaires d'immeubles.

"La rue est une jungle, observe Karim. C'est la guerre en permanence entre les artistes, la police, les annonceurs publicitaires." Résultat, le tracé du tour, lancé en 2011, change en permanence.

"Il y a l'art destiné à rester et l'éphémère. Vous l'appréciez tant qu'il est là", constate Zac Kerr, touriste australien, face à un visage fascinant gravé sur un mur par le Portugais Vhils.

Londres est devenu, comme New York ou Paris, un passage obligé des graffeurs venus de toute la planète. Tel Christiaan Nagel, un Sud-Africain installé à Londres où il a fait pousser quelques centaines de champignons géants aux couleurs pétillantes.

"J'ai commencé comme artiste traditionnel" avec des expositions dans des galeries. Mais "en tant qu'artiste, je suis par nature exhibitionniste. Je veux que mon oeuvre soit vue partout et je pense que la rue est le meilleur vecteur. Et puis je ne suis pas confiné à un espace. La rue est sans limite", dit-il.

Les visites guidées servent aussi de vitrine aux artistes de rue. Christiaan Nagel a ainsi décroché plusieurs commandes, qui finissent... chez des particuliers.

Le propriétaire du terrain protège des vandales et des intempéries la précieuse peinture qui représente un rat en train de manger avec une fourchette et un couteau: il compte l'utiliser comme élément de décor dans son futur restaurant, raconte Karim Samuels.

 

"Si vous avez la chance que votre immeuble soit tagué par Banksy", l'un des graffeurs les plus en vue, "ça augmente sa valeur", poursuit le jeune homme, bonnet enfoncé sur le crâne en cette journée glaciale.

Pour 14 euros, le directeur de Street Art London, une entreprise de promotion des artistes de rue, conduit touristes et passionnés d'art dans les dédales de Shoreditch à la découverte des graffitis les plus saillants. L'occasion de visiter un musée à ciel ouvert, aux codes secrets et en partie illégal.

 

"L'art n'est pas seulement dans les musées ou les galeries, l'art est partout. Et cette visite le prouve", se réjouit Felipe Rama, un étudiant brésilien de 20 ans, qui a chaussé des lunettes 3D pour profiter pleinement du portrait acidulé peint sur la façade d'un café par l'Australien Jimmy Cochran.

 

L'art urbain ne se confine pas à des murs ou des rideaux de fer tagués. Il peut aussi prendre la forme de pochoirs, de mosaïques, de sculptures, comme ce champignon rouge vif perché sur le toit d'un restaurant, ou la forme insolite de chewing-gums peints, invisibles sans le regard affûté du guide.

 

"Depuis 1998, Ben Wilson a peint entre 8.000 et 10.000 chewing-gums" piétinés sur le trottoir. "Il a été arrêté mais la police n'a pas pu le poursuivre. Il n'endommage aucun bien. Les chewing-gums sont juste des détritus", constate Karim, dévoilant sous la neige une de ces mini créations.

 

"Les artistes voient la rue comme un terrain de jeu, et on essaie de montrer la diversité du street art", explique-t-il, après avoir raconté la genèse de l'oiseau géant peint sur toute la hauteur d'un immeuble et révélé des figurines miniatures dansantes au pied d'un mur, oeuvre du Mexicain Pablo Delgado.

"Là où il y a une volonté, il y a un chemin", affirme-t-il, résumant l'état d'esprit des artistes de rue toujours à la conquête de nouveaux territoires.

 

Des graffitis sont détruits par la municipalité, d'autres sont endommagés par des artistes jaloux ou en manque d'espace, certains disparaissent au gré des nouvelles constructions et quelques-uns, plus rares, sont commandés par des propriétaires d'immeubles.

 

"La rue est une jungle, observe Karim. C'est la guerre en permanence entre les artistes, la police, les annonceurs publicitaires." Résultat, le tracé du tour, lancé en 2011, change en permanence.

"Il y a l'art destiné à rester et l'éphémère. Vous l'appréciez tant qu'il est là", constate Zac Kerr, touriste australien, face à un visage fascinant gravé sur un mur par le Portugais Vhils.

Londres est devenu, comme New York ou Paris, un passage obligé des graffeurs venus de toute la planète. Tel Christiaan Nagel, un Sud-Africain installé à Londres où il a fait pousser quelques centaines de champignons géants aux couleurs pétillantes.

 

"J'ai commencé comme artiste traditionnel" avec des expositions dans des galeries. Mais "en tant qu'artiste, je suis par nature exhibitionniste. Je veux que mon oeuvre soit vue partout et je pense que la rue est le meilleur vecteur. Et puis je ne suis pas confiné à un espace. La rue est sans limite", dit-il.

 

Les visites guidées servent aussi de vitrine aux artistes de rue. Christiaan Nagel a ainsi décroché plusieurs commandes, qui finissent... chez des particuliers.

 

 

 

 

 

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6 février 2013 3 06 /02 /février /2013 19:42

http://img1.gtsstatic.com/insolite/sur-cette-photo-le-monstre-du-lac-labynkyr-en-siberie-aurait-sorti-sa-tete-de-l-eau_115091_w460.jpg

 

Le lac Labynkyr en Sibérie a la particularité de ne jamais geler, même au plus froid de l'hiver. Une particularité qui alimente le mystère quant au fait qu'une étrange créature habiterait les profondeurs de ce lac. Nommé "The Devil" ("Le Diable"), ce monstre serait l'équivalent russe du Monstre du Loch Ness et aurait été aperçu l'an dernier.


On a tous déjà entendu parler du monstre du Loch Ness qui hanterait les profondeurs du lac écossais, mais on n’avait pas encore entendu parler de son homologue russe. Les contes le surnomment "The Devil" ("Le Diable"). Les scientifiques russes prétendent avoir retrouvé des restes de ce monstre. En effet, les plongeurs se sont rendus dans l’eau du lac Labynkyr à - 42°C et ont découvert que les rumeurs d’un monstre pouvaient être probables.

 

"Nous avons trouvé des restes de mâchoire et de squelette"

Les géologues ont ainsi annoncé avoir trouvé des restes de mâchoires et de squelette qui pourraient appartenir à "The Devil. "Il y a eu toutes sorte d’hypothèses à propos de la nature de cette créature : un énorme poisson, un reptile ou bien encore un amphibien. Aucune de ces versions n’a pu être démontrées ou controversées… Cependant, nous avons réussi à trouver des restes de mâchoire et de squelette d’un quelconque animal" a expliqué Viktor Tverdokhlebov, relayé par The Daily Mail.

 

Les légendes racontent que le monstre du lac de Sibérie mesurerait plus de 10 mètres en longueur. L’an passé, une photo étrange a été prise. Elle nous montre une vue du lac Labynkyr avec une sorte de tâche noire sortant de l’eau. Bien entendu, tout le monde s’est affolé et a prétendu qu’il s’agissait de la créature. Le plongeur Dmitry Shiller a mené une mission pour la Russian Geographical Society pour vérifier s’il s’agissait bel et bien du monstre. Il a donc plongé dans ce lac qui a pour moyenne plus de 50 mètres de profondeur. Les eaux les plus profondes se trouvent à 80 mètres. Ce lac est un mystère pour les habitants et les scientifiques car l’hiver, le lac Labynkyr ne gèle pas comme tous les autres de Sibérie. En effet, l’eau se maintient à une température de 2°C à la surface. C’est pourquoi les hypothèses d’un monstre s’y cachant alimentent encore plus les histoires et les légendes qui datent du XIXe siècle.

 

"Je ne peux pas expliquer la nature de cet objet"

En 2006, les scientifiques avaient fait une découverte encore plus étrange. Ils avaient fait plonger une sorte de robot dans les profondeurs du lac. Muni d’une caméra, ce robot s’était baladé dans les profondeurs. Une image a principalement retenu l’attention de l’équipe scientifique. Sur celle-ci, on peut voir un objet placé à l’horizontal qui a été mesuré à plus de six mètres de longueur. "C’était notre quatrième ou cinquième jour d’exploration du lac lorsque notre sonde a enregistré des ondes provenant d’un énorme objet dans les eaux juste en-dessous de notre bateau", a déclaré Lyudmila Emeliyanova, membre du groupe de scientifiques en question.

 

Cependant, l’équipe a immédiatement écarté l’hypothèse d’un poisson du lac puisque celui-ci était beaucoup trop grand par rapport aux espèces déjà connues. "L’objet était vraiment dense, il était d’une structure homogène (...) J’étais vraiment surprise, mais pas effrayée. Après tout, on n’a pas vu l’animal, on a seulement pu enregistrer des images d’un objet étrange. Cependant, je ne peux pas dire même en tant que scientifique la nature de cet objet", a-t-elle ajouté.

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